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 Tout n'est qu'une question d'impression (PV : Alessa)

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Lucilius De l'Ombrage

Inquisiteur

Lucilius De l'Ombrage

• Fiche : Les Vanités.
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MessageSujet: Tout n'est qu'une question d'impression (PV : Alessa)   Tout n'est qu'une question d'impression (PV : Alessa) - Page 2 EmptyMar 26 Nov - 10:03

Rappel du premier message :

Lucilius tourna la tête en direction de son domestique. Un soupir s'échappa de ses lèvres, alors que le serviteur paraissait l'attendre. L'attendre pourquoi ? L'homme se sentait bien ainsi, allongé dans ses draps de soie, l'odeur de l'opium caressant ses narines, et les douleurs de son corps endormies. Il cligna des yeux, il ne voyait plus très bien la pièce, mais ce n'était pas grave, ses muscles étaient détendus, que demander de plus ? Pourquoi était-il venu le réveiller si tôt ? Le soleil n'était pas encore levé.

Dehors, la nuit était aussi noire que l'encre. Le domestique s'avança vers son maître, il ne le toucha pas pour autant ; devant Lucilius, il attendait que celui-ci puisse comprendre son annonce. Lucilius ne bougea pas, il se contenta de le scruter sans saisir la situation. Son coeur battait lentement dans sa poitrine, ça faisait un moment qu'il ne s'était plus senti aussi serein. Sa main bougea dans l'air, il chercha quelques secondes son tendre opium, mais le domestique l'arrêta. Lucilius émit un grognement agacé, mais il ne put lutter contre l'homme. Il n'ajouta rien, il attendit que l'autre commence :


— Maître Lucilius, vous souvenez-vous du message de votre père ?


L'homme remua des épaules, il fit « non » d'un signe du menton, et il se remit à la recherche de sa drogue. Le domestique réitéra son action, mais cette fois-ci il le tira pour qu'il puisse s'asseoir. Lucilius grimaça de douleur, sa hanche n'appréciait pas. Il changea de position afin d'atténuer la douleur, son esprit à peine concentré sur ce que lui disait le domestique. Oui, son père lui avait envoyé une lettre, et alors ? Il n'y avait que des ordres dedans, rien d'intéressant pour « lui », pas même un compliment pour son ascension au sein de l'Église. Péniblement, Lucilius avait grimpé chaque échelon, tirant son maigre corps tout en haut pour devenir plus que le « Boiteux ».

— Il réclame votre présence, jeune Comte. Aujourd'hui.


Pourquoi son père pensait-il pouvoir disposer de lui comme s'il n'était qu'un objet ? Lucilius approuva, au fond, il était agacé. Si son père le voulait, il pourrait dire adieu à son opium jusqu'à ce que sa faiblesse l'ait écoeuré.

Vraiment, Lucilius haïssait les réunions de famille. C'était ses deux soeurs qui l'irritaient. Deux créatures malfaisantes, maquillées comme des putes, et parlant comme des femmes du peuple. N'avaient-elles jamais conscience de leur rang ? Assis entre sa mère et sa soeur aînée, Lucilius n'osait regarder son père en face. Il se concentrait sur son assiette, et sur le vin, au moins il pourrait supporter au mieux cet endroit. Octave était face à lui, mangeant dans un silence glacial, et sondant son fils dès que celui-ci faisait un geste.

Derrière le chef de famille se trouvait un portrait d'Auguste De l'Ombrage, auprès de ses trois fils, et de son épouse. Louise ressemblait trop à son mari pour que cela soit normal, et les trois garçons semblaient porter le poids du monde sur leurs épaules. Quand ils mangeaient ici, Lucilius ressentait un profond malaise. Auguste était l'image d'Octave, grand, droit, et sévère. Leur ressemblance le dérangeait, mais ce qui le dérangeait le plus dans ce tableau, c'était la présence de Marius De l'Ombrage. Cet hérétique avait plongé l'Empire dans le déclin. Il ne méritait pas de figurer sur cette toile ; enfant, Lucilius avait plusieurs fois essayé de brûler le visage du Rebel. Remarquant le malaise de son frère, sa soeur aînée eut un rictus mauvais, elle posa les coudes sur la table, et cala son menton sur ses deux mains jointes. Amusée, le regard méchant, elle déclara :


— Maintenant que tu es un membre de l'Église, toi aussi comptes-tu trahir la famille, au nom de la justice et de l'honneur, petit frère ?
— Les véritables traîtresses ici, ce sont vous. Répondit Lucilius, froidement.
— Oh...
— Ça suffit. Les coupa Octave, il essuya sa bouche avec sa serviette, et il ajouta : votre frère n'est pas là pour ce genre de débat.
— Ah c'est vrai... il est venu pour qu'on puisse admirer sa grande face cadavérique.
— Chut, laissez votre père parler. Intervint Lucie, qui lança un regard chaleureux vers son fils.
— Demain soir, reprit Octave, nous invitons les Nocturnae. Sais-tu qu'ils ont une jeune fille en âge de se marier, Lucilius ?

L'homme leva un sourcil, mais il ne répondit rien. Il s'arrêta de manger ; à la place, il bu une gorgée de vin rouge. Il pressentait qu'il devrait avaler quelque chose de fort pour supporter la nouvelle.

— Elle a seize ans, c'est ça ? Fit-il.
— En effet. Octave posa fourchettes et couteaux, puis il joint les mains. Il fixa Lucilius sans cacher son aversion, il enchaîna : tu vas bientôt avoir trente ans, tu n'as pas encore de femme, il serait temps que tu fasses ton rôle d'homme, et que tu perpétues la lignée. Alessa Nocturnae descend d'une grande famille, je te conseille fortement de faire bonne impression. Tu es trop vieux pour elle, mais avec quelques efforts, peut-être pourras-tu en faire ta femme.

Sa soeur aînée éclata d'un rire cruel. Elle se bascula vulgairement en arrière, et elle essuya la larme au coin de son oeil. Lucilius avait posé ses mains sur ses deux maigres genoux, il avala péniblement sa salive, mais il ne dit rien. Son visage était aussi lisse et blanc que le marbre, même son regard ne traduisait pas le fond de sa pensée. On se foutait de sa gueule ! Ce n'était pas comme si l'Église dévorait toute son existence ! Il fallait qu'en plus qu'il séduisît une gamine de seize ans, lui ?



— Haha ! Ce n'est plus une montagne que tu devras franchir, petit frère, mais un pays entier ! Toi... séduire Alessa Nocturnae ? Père, moi qui pensais que vous n'aviez aucun humour... je...
— Tais-toi. Gronda Octave, puis : tu m'as bien compris, Lucilius ? Tu n'as aucun intérêt à me décevoir, fils.

Le lendemain, Lucilius se retrouva plus que nerveux. La situation l'exaspérait au plus haut point. Vivre en célibataire lui avait suffi toute sa vie, il s'épargnait des heures de discussions inutiles, il pouvait fumer et sortir sans qu'on critiquât ce qu'il faisait. Il pouvait vivre comme il le voulait, sans s'enchaîner d'une femme ! Tandis qu'il se préparait, ses mains tremblaient de fatigue. Il n'en avait pas dormi de toute la nuit, et cela se voyait. Des cernes gris creusaient son visage angulaire, sa bouche était sèche, la cicatrice au coin des lèvres la rendait plus affreuse. Il lui paraissait que sa jambe lui faisait encore plus mal : il n'arrivait pas à rester debout, malgré l'aide précieuse de sa canne. Dès qu'il s'arrêtait de bouger, il refaisait sa cravate, maudissant la face malade qui lui renvoyait le miroir. Malgré sa maigreur — et sans être qualifié de « séduisant » —, il affirmait une élégance rare.

Du moins, bien moins vulgaire que celle de ses soeurs. Il portait pour seule couleur une chemise blanche, pour le reste, il était habillé dans un costume de velours noir. Il avait attaché en queue de cheval sa chevelure grise dans un ruban sombre, et il n'arrivait pas à soumettre sa cravate à sa volonté. Sa mère était dans un coin de la pièce, elle lui murmurait de se calmer, sans que Lucilius ne l'entende. Au bout d'un moment, on vint leur annoncer que les invités étaient enfin arrivés. Lucilius laissa sa mère rajuster sa cravate, puis il sortit le premier de la chambre. Son pas était silencieux, de même que sa canne, si bien qu'aucune de ses soeurs ne perçut sa présence.


— Regardez-moi ces adorables joues ! S'exclamèrent-elles.

Lucilius fronça les sourcils, puis Octave s'écarta un peu pour le laisser passer. Alors pour la première fois, Lucilius croisa le regard d'Alessa Nocturnae. La gorge sèche, il masqua pourtant bien la gêne qu'engendrait toute cette scène. Il sourit même, mais de ce faux sourire doux et prévenant. Il déclara sur un ton avenant, et poli :


— Bonsoir Mademoiselle Nocturnae, je suis Lucilius De l'Ombrage, enchanté de faire votre connaissance.

Lucilius s'inclina légèrement.
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Alessa Nocturnae

Intellectuelle

Alessa Nocturnae

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MessageSujet: Re: Tout n'est qu'une question d'impression (PV : Alessa)   Tout n'est qu'une question d'impression (PV : Alessa) - Page 2 EmptyMar 3 Déc - 3:08

- Je lui en ai un peu parlé oui...

Le "petit" Ludwig hein ? Bien que parfait pour pratiquement tout publiquement, la jeune fille trouvait Lucilius bien méprisant par rapport à un membre de la famille Impériale. Elle préféra ne rien dire, après tout cela le regardait... elle ne se serait jamais permis de parler comme ça de qui que se soit, du moins d'aucun membre d'une famille de la haute société... de la petite noblesse pourquoi pas, ils étaient amusants mais assez insignifiants... et pour le peuple... c'était juste le peuple.

- Il n'a pas spécialement semblé apprécier mon opinion mais n'a pas été dégouté. Ni méchant, ni cassant ni rien, contrairement à d'autres. Il a même été plutôt compréhensif je trouve, surtout quand on sait qu'il n'aime vraiment pas ce que je fais et que ça n'a pas grand chose à voir avec ce qu'il fait lui.


Elle sourit légèrement, repensant au jeune homme.


- Je ne l'ai pas vu longtemps, on a discuté un peu, je lui ai fais goûté le thé que je fabrique dans ma chambre, on a discuté encore un peu et puis on est partis, on avait tous les deux des obligations familiales...

Elle fronça les sourcils, se souvenant brusquement qu'elle avait oublié d'en vouloir à son frère pour l'avoir laissée en plan comme une malpropre au restaurant. L'espèce de criminel en puissance qu'elle y avait rencontré avait suffisamment égayé sa soirée pour qu'elle en oublie de le faire payer à ce crétin... il faudrait qu'elle remédie à ça.

- Mais on a convenu de se revoir prochainement, il m'a conviée à la soirée qu'il organise en l'honneur de son frère mais je vous avoue qu'il serait sans aucun doutes très agréable de le revoir avant. J'ai eu l'agréable impression de pouvoir être totalement moi même avec lui, c'était rafraichissant.

Peut-être même allaient-ils devenir de véritables amis ! Cette perspective fit légèrement rosir les joues de la jeunes filles. Un ami, un vrai, pas quelqu'un qui a peur de son nom où de ses passions, pas quelqu'un qui cherche à obtenir des informations où à faire un bon mariage pour élever le rang de sa famille. Bon, pas comme Lucilius, soit, même si "Nocturnae" sonnerait très bien dans l'arbre généalogique des De l'Ombrage, cela n'élèverait pas beaucoup leur rang, contrairement à d'autres familles. Mariage... elle détailla longuement Lucilius en silence. Pourquoi ne pas épouser Ludwig tant qu'à faire ? Ainsi elle n'aurait pas à se marier avec Lucilius, et vu que ce mariage semblait faire à peu près autant plaisir à l'inquisiteur qu'à elle-même cela serait rendre un sérieux service à tout le monde... sauf peut-être à Ludwig... il faudrait qu'elle lui en parle à l'occasion, sait-on jamais. Elle n'était pas amoureuse de lui, il ne l'était pas non plus, mais au moins ils pourraient parler librement entre eux... non ?

- J'ai vraiment trouvé qu'il était quelqu'un d'agréable. Sans doutes un peu trop gentil pour ce monde, mais je suis encore comme lui, même si j'espère trouver quelqu'un qui pourra me faire changer cette habitude déplorable. Je ne peux pas me permettre de trembler de peur dés que quelqu'un se fait frapper sous mes yeux... c'est pathétique.


Elle eut un petit sourire amusé.


- Pourriez-vous me faire penser à rappeler à mon frère aîné qu'il m'a laissée toute seule au milieu d'un restaurant bas de gamme il y a quelques jours ? J'ai dû passer la soirée avec un criminel... je l'ai trouvé amusant mais tous les membres du personnel ont dû avoir une attaque quand nous sommes sortis ensembles et qu'il m'a raccompagnée à Libris Umbra... On ne laisse pas sa petite soeur douce et fragile dans un endroit comme celui là sans chaperon où garde du corps... vous imaginez si j'avais fais une mauvaise rencontre ?


Elle soupira, excédée.

- Mon frère est un irresponsable.
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Lucilius De l'Ombrage

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MessageSujet: Re: Tout n'est qu'une question d'impression (PV : Alessa)   Tout n'est qu'une question d'impression (PV : Alessa) - Page 2 EmptySam 29 Mar - 13:02

Ludwig est ceci, Ludwig est cela, Ludwig est très agréable... Rah ! Lucilius avait compris, ce n'était pas la peine de le répéter autant de fois, en assistant encore et toujours à quel point le jeune homme était charmant ! De l'Ombrage afficha un sourire amical, comme si les paroles de la Princesse allaient dans son sens. Au fond, il était agacé par l'adoration d'Alessa envers le Prêtre. Lucilius appréciait peu de monde, et Ludwig ne faisait pas partie de son cercle. Il était son élève, rien de plus. Un élève bien faible pour toutes les capacités qu'il avait, et surtout la chance de naître correctement, avec un titre plus qu'honorifique. Lucilius était-il jaloux ? Un peu, mais il était d'un naturel envieux. Il suffisait d'être normal, et l'Inquisiteur se mettait à haïr n'importe qui.

Mais Alessa n'avait pas besoin de lui faire l'éloge de Ludwig, c'était pénible. De plus, les paroles qu'elle exhibait étaient plus qu'ambiguës. Si son père l'entendait, il se persuaderait sûrement que l'adolescente fut amoureuse de Ludwig. Lucilius ne se risquait pas à y penser qu'elle l'aime ou non l'indifférait, tant que l'entreprise programmée par son père fonctionnât était suffisant pour lui. Il était de notoriété publique qu'un De l'Ombrage ne tombait jamais amoureux, la pureté du sang prévalait sur tout, et les sentiments n'étaient qu'une faiblesse qu'on devait effacer. Et c'était ainsi qu'on avait créé des monstres sans coeurs au fil des siècles. Un sang pourri, mêlé à une éducation rigide, et on obtenait des êtres violents, tourmentés, et tourmenteurs.


— La violence fait partie de ce monde, Princesse. Déclara Lucilius sur un ton triste. L'Empire a été bâti sur une montagne de cadavres.

C'était comme ça partout. Lucilius ne possédait pas de véritable idéologie humaniste ; le monde pouvait s'écrouler qu'il s'en moquait. Ce qu'il désirait, c'était redonner à l'Église sa grandeur d'antan, reconstruire tout ce que son ancêtre avait pu détruire par sa seule force de volonté. Pour cela, Lucilius devait gravir un escalier interminable, saigner, souffrir, sans jamais faillir. Sans doute en était-il capable, sans doute non. Lui-même ne le savait pas. Il voulait laver ce sang maudit dans ses veines, effacer l'humiliation causée par Marius, redonner à son nom toute sa gloire.

La soirée avançait, le froid se faisait sentir, malgré le feu de cheminée. Le silence revint, sans que l'homme cherchât à le briser. La fatigue l'accablait, et il se demandait ce que son père pouvait faire. Avec un peu de chance, il aurait levé la main sur sa poufiasse de soeur qui ne méritait pas de manger sous ce toit. Elle avait fait éclater un magnifique scandale, ce que son père ne lui pardonnerait jamais. Lucilius avala une gorgée de vin, attentif au moindre de bruit : le crépitement du feu, les pas dans les couloirs, les voix s'élevant à travers le mur. Quand son père entra, l'homme haussa un sourcil sans relever le regard haineux qu'il posa sur lui. Lucilius avait — plus ou moins — conscience que cette fureur ne lui était pas adressée. Octave était en train d'essuyer ses mains à l'aide d'un mouchoir immaculé, sans laisser transparaître le moindre sentiment. Dès qu'il s'était rappelé de la présence d'Alessa, son comportement avait changé. Il ne s'était pas radouci, son visage de glace avait juste repris le dessus.


— Lucilius, tu raccompagneras la Princesse au centre d'Ishtar, quand elle sera décidée du moment où elle rentrera. Nous l'avons convenu, tu es désormais son protecteur.

Étonnement, l'homme n'était pas étonné de cette nouvelle. Mais ça l'emmerdait, il devait encore s'occuper d'une gamine ! Pour qui le prenait-on ? Pour une nourrice ? Lucilius approuva pourtant, dans un sourire doux. Il ajouta pour appuyer les mots de son père :


— Si vous avez le moindre souci, faites-le-moi savoir, et je viendrais.

Octave donna le mouchoir à un serviteur, puis il fit signe à son fils de se lever. Sa mère et ses soeurs étaient absentes. De l'Ombrage s'exécuta, aussi vite que sa jambe malade le lui permettait. Sa main se crispa sur sa canne, la soirée l'épuisait considérablement. Il fit un pas en direction d'Alessa, il lui tendit sa main blanche et rachitique, puis il termina dans un sourire chaleureux :

— Bien, j'ai été ravi de vous rencontrer, Princesse. J'espère que nous aurons d'autres occasions de nous voir pour discuter, et pour visiter la ville, peut-être ?
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