Test de Niveau
- Personnage souhaité : Maximilien Walhgren
- Sa mini-fiche : Clic Clic
- Expérience : Alors là, ça fait un bout de temps.
- Double compte :Ici non : )
- Autres : Vous voulez vraiment des injures ? XD J'en doute. Je pourrais juste dire XD J'espère que le physique et le mental vous convienne ^^. S'il en manque, je pense que vous arriverez à me le dire XD
Texte : Il y a tant de chose à dire sur ce grand homme, si semblable à un roc magnifique et fier. Mais, il est dur de savoir par quoi commencer tellement c'est un être secret. Son apparence ? Sa psychologie ? Ce que voit le peuple ? Ou cette facette mystérieuse que seul les membres de sa fratrie voit ? Où tout à la fois.
Commençons par effleurer la surface des flots du bout des doigts. Ce que le peuple voit de loin lorsque le Régent se met sur le balcon. Grand, vêtu d'étoffes sombres, sobres, une crinière de diamant qui cascade sur sa colonne. Une première approche qui impose par le charisme de l'individu. De son visage souvent fermé, de ses gemmes grisées, il représente l'exemple typique de quelqu'un qui a la tête sur les épaules. Cette impression se renforce par la sagesse et la force miroitant dans ses yeux.
Sûr de lui, c'est un être qui se tient droit, à l'écoute des âmes qui déposent sur lui tant d'espoir. Il ne peut se permettre de reculer. De craindre. De fuir. De ne penser qu'à ses seuls et uniques désirs. Ces connaissances l'ont moulé comme il est : une barque résistante au raz de marée. Un homme qui sait ce qu'il désire... Et qui s'affiche ici, sans crainte.
D'une démarche assurée, il vient à frôler les barrières. Ses doigts glissent sur la surface blanche, lentement, très lentement, le regard bleu gris couve la foule. Il vient au plus près d'eux pour les couvrir de tout l'amour qu'il a pour l'Empire et ses habitants. Une chaleur les remplit d'une douce étreinte.. Et disparaît. C'était une caresse volatile. Un soupçon de ce qu'il ressent. Il leur parle de sa voix grave, des notes qui pourraient faire tressaillir par son timbre. Les esprits se questionnerait sur l'effet provoqué dans une autre situation, plus intimiste. En vain. Notre homme relègue en dernier plan cette occupation.
Maximilien se détourne. On l'attend entre les murs. La politique n'attend point. Il rejoint le coeur de l'assemblée, le masque de son visage actif. Il écoute tout. Chaque mot, chaque syllabe se retrouve décortiqués. Il fait preuve de prudence entremêlée à la sagesse. Il est conscient d'une réalité étourdissante, de sa décision tout peut empirer ou devenir supportable. Là est la joie d'avoir ses épaules un pouvoir immense. Étrangement, c'est une vérité qu'il a assimilé. Il pèse le pour et le contre comme un incroyable maître d'échec. Il imagine le bien et le mal de ses mots. Sa décision tombe, rapide, incontestée et surtout appréciée. Il n'a souffert d'aucune hésitation. Sa voix est restée égale à elle-même, affirmée, sans tremblements, ni fébrilité.
Les affaires se répètent comme une araignée aux pattes infinies. Toute son parachevée avec succès. Les problèmes de l'Empire, les histoires entres aristocrates, l'histoire qui dure entre les deux peuples. Rien ne décroche sur le visage de la lassitude. Les traits demeurent impeccables, le regard serein et attentif. Maximilien se veux vif et il y parvient. Il prend à coeur la tâche qui lui incombe. Ce pouvoir délégué par son aîné ne sera ni ne deviendra un poids...
Encore de nombreuses heures et la masse se dissout. Le calme revient. Profitant de l'ataraxie nouvelle, c'est d'un pas assuré que le Régent se renseigne sur la vie de l'extérieure, celle du Peuple. Il s'assure de leur bien-être, de leur besoin. Il note dans sa mémoire les choses négatives qu'il a retenu. Il s'y penchera, bientôt, très bientôt. Mais là, son envie de souffler l'écorche.
Il jette un oeil sur ses neveux, leur parle... Les questionnes sur leur journée respectives. Les taquines insidieusement. Il profite de leur présence. Après quelques moments envolés, il rejoint son frère et sa nièce. Ce moment le détend. Son visage se montre plus conciliant, il est plus détendu. Moins ferme. Il n'affiche plus cet éternel aspect inviolable, une montagne qui jamais ne se courbe. Il est... Lui-même. Un homme....qui se soucie de sa famille et qui parle sans le souci de l'étiquette. Un homme, juste, bon, attentif.