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 Rencontre imprévue (Pv : Aaron)

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Lucilius De l'Ombrage

Inquisiteur

Lucilius De l'Ombrage

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MessageSujet: Rencontre imprévue (Pv : Aaron)   Rencontre imprévue (Pv : Aaron) EmptyJeu 28 Nov - 0:05

Depuis que son père lui avait fortement conseillé de séduire Alessa Nocturnae — ou plutôt ordonner —, Lucilius était plongé dans une profonde détresse. Plusieurs choses l'ennuyaient dans les projets de son père, la première était le fait qu'Alessa était plus jeune de douze ans ! Il trouvait l'idée dégueulasse de devoir un jour ou l'autre devoir lui faire des enfants. Ensuite, Lucilius n'avait aucune envie d'épouser qui que ce soit ; il aimait la bien qu'il menait, seul. S'il devait faire d'Alessa sa femme, il pourrait seulement dire « adieu » à l'opium, et souffrir pour le restant de ses jours.

Et puis, ce qui était encore plus gênant, c'était qu'au bout d'un moment, il devrait lui dévoiler sa véritable personnalité. Derrière sa face malade, sa voix placide, ses manières polies, et ses conseils, Lucilius était un monstre égoïste et sensible. Il cachait les passions de son âme avec fermeté, il faisait de son affection pour la drogue son plus grand secret, et peu à peu, la haine le dévorait. Quand il affirmait apprécier autrui, c'était un véritable mensonge ; il n'aimait personne, il méprisait tout le monde, et il enviait jalousement le clochard de sa rue pour peu que celui-ci ne se déplaçât pas avec une canne. Il ne supportait pas les interdictions, et avoir une épouse pour le restant de ses jours, c'était barricader sa liberté avec des tiges de métal.

Alors devant son « ami » Laurent, Lucilius lui avait parlé de ce (possible) futur mariage. Dans sa maison, face à lui, il s'était laissé aller à un peu de désespoir. Les coudes sur les bras du fauteuil, il avait perdu son habituel maintien rigide. Laurent avalait pour sa part des bouchées de gâteaux, écoutant avec sérieux la nouvelle. Laurent était l'inverse de Lucilius. Il n'était pas aussi grand, mais il était bien moins maigre, bien moins fragile. Il avait un appétit incroyable, mais aucune trace de graisse n’apparaissait sur son corps. Sa mâchoire était carrée, son nez partait un peu en trompette, ses yeux bruns respiraient la malice et la joie de vivre. Ses cheveux bruns étaient coupés court, et ils étaient tout le temps en bataille. Ses mains étaient viriles, de même que ses épaules. Il avait des comportements d'enfant : à ses côtés, Lucilius paraissait plus vieux, mais Laurent respirait la gaieté et la vivacité, Lucilius à côté n'en paraissait que plus souffrant.

Quand Lucilius termina avec tristesse son récit, Laurent frotta sa joue, il engloutit une nouvelle part de gâteau, puis il répondit :


— Bah ! Dis-toi que tu auras la chance d'avoir une jolie jeune femme pour s'occuper de toi quand tu seras vieux. Franchement, je t'envie. Qu'est-ce que je ne donnerai pas pour avoir une petite de trente ans quand j'en aurais quarante !

—...
— Eh ! Moi, ça me fait rêver !

Lucilius poussa un soupir sans rien répondre, qu'avait-il à répondre de toute façon ? Laurent n'avait jamais envisagé la vie de la même manière que lui. Lucilius était bien sage à côté de lui. On pouvait se demander comment ces deux-là avaient pu lier une telle amitié ; Laurent était un original, un séducteur, il aimait tout ce que son existence lui amenait, malheur comme bonheur. Lucilius considérait les choses uniquement comme des obstacles à surmonter. Laurent émit un petit rire, puis il se saisit d'un verre de vin, il ajouta :

— Mais avant cela, tu vas devoir apprendre à séduire les adolescentes. Tu comptes jouer aux grands frères ?
— L'idée est répugnante. Cracha Lucilius.

Laurent se mit à rire :

— Il y en a qui aimerait... j'imagine surtout qu'elle doit être jolie en plus, ta demoiselle. Puis, il posa le verre, il se pencha vers Lucilius pour continuer : mais avant tout, il faut fêter ça !
— Épargne-moi tes sarcasmes, je te prie.
— Ce n’en est pas un, Lucilius. Malgré ton âge, tu sais très peu t'amuser.
— Je ne considère pas coucher avec des prostitués comme une grande distraction.
— Oh... si tu savais ! S'exclama Laurent en se redressant. Mais tu vas savoir ! Si tu veux mettre ta colombe dans ton lit, il va falloir que tu apprennes à charmer les femmes. Et crois-moi les bordels, c'est un bon endroit pour ça. Et puis, ça te détendra, tu as l'air de porter le malheur sur tes petites épaules.

Lucilius offrit un magnifique regard à la fois blasé, et outré à son ami. Il avait bien entendu ? Laurent voulait l'emmener dans un de ces endroits miteux ? Où il risquait d'attraper la vérole rien qu'en touchant la poignée de porte ? Il était hors de question qu'il se rendit dans un tel lieu ! Il descendait d'une famille de haute noblesse, jamais il...

— Arrête de te moquer de moi.
— Oh... je vois... tu as peur ? Fit Laurent en le fixant, amusé. Je comprends... c'est parce que tu as un problème avec les femmes, et...
— C'est faux, se défendit l'Inquisiteur. C'est...
— Oui oui, tu as peur des femmes, d'ailleurs c'est vrai que je ne t'ai jamais vu en faire tomber une seule dans tes bras...
— J'attends juste... et... bon sang. Pourquoi a-t-on cette discussion ?
— Parce que tu as des problèmes de virilité ?
— Laurent ! Lucilius se leva, maladroitement certes, grimaçant à cause de sa hanche. Il plaqua ses deux mains sur la table, et gronda : très bien, très bien ! Je vais t'accompagner ! Mais ce sera la dernière fois, compris ?

En réponse, Laurent rit de plus belle.

Et voilà comment Lucilius s'était retrouvé dans un bordel que Laurent jugeait de « bonne renommée ». Dès qu'il avait posé un pied dans l'enseigne, son coeur s'était serré de consternation, si son père apprenait qu'il s'était aventuré ici, il le déshériterait sans l'ombre d'un doute. Il n'osait même pas imaginer la réaction d'Alessa ! Et de ses soeurs.... bon sang, il nageait en plein cauchemar. Il avait déjà envie de s'enfuir, toute cette ambiance ne lui correspondait pas. Le bordel n'était pas désagréable pour autant ; il y avait un homme en train de jouer du piano au milieu du salon, alors que des couleurs vives et des fleurs décoraient les murs, et les canapés. On avait allumé un agréable feu de cheminée, devant lequel une jeune femme discutait avec un vieil homme.

D'ailleurs, Lucilius n'avait jamais vu autant de femmes réunies dans un seul endroit, il y avait aussi des hommes, mais il leur apportait un intérêt très limité. Laurent le conduit vers une demoiselle de petite vêtue, vêtue d'une robe rose, soigneusement décolletée. Sa chevelure rouge glissait sur sa gorge, alors que son sourire carmin invita les deux hommes à la suivre. Lucilius n'osait pas la regarder, comme il n'osait pas regarder les autres, il fixait alors un endroit du mur. Il se laissa tomber sur le canapé, Laurent se mit face à lui. On leur apporta du champagne, et deux demoiselles s'assirent chacune à côté de Lucilius. Encadré par les prostitués, l'homme envoya un regard haineux à son ami. Laurent expliqua qu'il ne fallait pas prendre mal sa « timidité », car c'était la première fois qu'il venait dans ce genre de lieu. L'une émit un petit rire amusé, et affirma qu'elle ferait tout son possible pour qu'il se sentît bien. Lucilius pour sa part ne songeait qu'à s'enfuir.

Malgré leurs efforts, elles ne parvinrent pas à lui arracher autre chose qu'un sourire poli et crispé, et dès qu'elle essayait de le toucher, il repoussa doucement leur main en prétextant avoir un peu de fièvre. Au bout d'un moment, l'une se leva, totalement désespérée, et elle se dirigea vers une de ses « collègues ». Elle soupira :


— Voilà pourquoi je n'aime pas les petits nobles, celui-ci est un véritable fils à papa ! Nous sommes pas assez à son goût.
— Peut-être qu'il n'aime pas vraiment les femmes ?
— Hum...
— Peut-être que le nouveau saura y faire ?
— Tu as raison, essayons.

Et elle se dirigea vers le « nouveau ».
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Aaron Vital

Inquisiteur

Aaron Vital

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MessageSujet: Re: Rencontre imprévue (Pv : Aaron)   Rencontre imprévue (Pv : Aaron) EmptySam 22 Fév - 1:57

Invité à manger, l'or de mes prunelles se ballade sur le visage de mon voisin. Fin. Élégant. Deux amandes où brillent des émeraudes en guise de yeux. Un nez aquilin. Une légère cicatrice sur son arcade sourcilière. Une crinière d'un noir de jais qui encadre son visage plus mature que le mien. Des lèvres qui ne cessent de formuler une rivière de mots.  Un point de beauté sur la joue. Un anneau qui pend aux lobe droit. Il n'a rien à jeté. Ironiquement, j'en salive presque. Mon appétit, autre que pour la nourriture dans mon assiette, s'ouvre. Dommage que l'heure ne soit pas aux galipettes. Pris sur cette pensée, un sourire s'ourle aux coins de ma bouche.

Mon voisin se tait et poursuit. Il ignore que je me trouve plus intéressé par lui que son verbiage incessant. Son discours, sur le moment, n'est qu'un vague bruit de fond. Il me gêne en ma contemplation presque cruelle de ses traits. Je me régale visuellement du tableau dépeint qu'est sa personne. Je nous imagine ailleurs.. Dans une ruelle déserte, à l'abri des regards, à jouer à des jeux d'adulte. Je chasse cette succincte pensée. Non. Je ne dois pas m'égarer. Il m'a fait venir pour me parler d'un sujet important.

La fourchette rejoint ma bouche. La viande saignante fond presque en bouche. Mâchant, j'écoute silencieusement les longues chaînes de syllabes.. Parfois, je hoche la tête pour lui faire comprendre que je suis toute à son attention. Pourtant, c'est réellement l'inverse. J'ai bien du mal à quitter mon objectif premier. Mon regard bifurque bien plus bas : ses clavicules. Je suis tenté de les toucher du bout des doigts.

Andrew perçoit ma dégustation insistante. Celle d'un plat plus appréciable et bien vivant : lui. Il me tape sur l'épaule pour briser les images fortes délectable qui viennent de m'envahir. Grognant, je pose sur le bord de la table ma fourchette.

« A la place d'aiguiser mon appétit, il serait bien que tu m'expliques le fin mot de l'histoire, non ? »

Je le taquine. Il me montre un visage des plus outré. Puis, un grand rire lui échappe. Je sais enfin l'objet de ma venue ici. Des choses étranges se passent dans la maison de passe où il vient souvent. J'ai comme une légère impression que son véritable but, me voir avec des vêtements aguichants.. Il ne changera jamais. Je termine de manger, je me lève. Mes doigts, envol papillon, lui caressent la joue.. Je réaliserais sa demande... Je peux bien le faire pour l'invitation.   A défaut de contenter mon corps cette fois ci, mon voisin m'a permit de remplir mon estomac gratuitement.

Je me détourne et je pars. Ombra, mon doux compagnon, n'a que trop attendu ma sortie. Bien sagement, il m'attend couché paresseusement sur un carton. Me voyant enfin, il vient à moi. Ensemble, nous nous enfonçons dans la gueule profonde de la Capitale. Nous passons une bonne heure à vaquer dans les rues de l'Impériale Cité. Et, il est temps une nouvelle que je laisse mon compagnon seul.

Je me dirige droit vers le lieu des Plaisirs. Non sans difficulté, je rejoins les rangs des butineuses. Habillé d'un simple pagne, idée bien étrange qu'elles ont eu, je vais partir recevoir mon « premier client ». Je me courbe en tout salut... Puis, je me fige en me relevant. Je viens de reconnaître mon vis à vis. Le boiteux de l'Ombrage. Je me doute que c'est le cas aussi pour lui. Je ricane intérieurement. Je vais.. m'amuser.

Sourire carnassier derrière mon aspect de brebis, je m'installe à ses côtés. Ma paume caresse rêveusement son épaule. Glisse contre sa nuque.

« Dois-je m'occuper de vous ici ? Ou, souhaitez-vous me suivre dans un lieu plus intime ? »

Je le vois déjà fulminer... Colère. Colère. Doux poison...

« Ici ou ailleurs, je suis apte à vous détendre... Et... Je peux tout aussi bien faire le contraire. »

Jouons.. Jouons ensemble... Lucilius... Montre moi si tu peux rester longtemps calme...
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Lucilius De l'Ombrage

Inquisiteur

Lucilius De l'Ombrage

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MessageSujet: Re: Rencontre imprévue (Pv : Aaron)   Rencontre imprévue (Pv : Aaron) EmptySam 8 Mar - 2:13

« Putain de merde ! »

Voilà la pensée qui heurta Lucilius, lorsque son regard croisa celui d'Aaron. Pourtant, son visage resta aussi lisse que de la soie, seul un sourcil surpris se souleva. Lentement, ses mains se crispèrent sur le pommeau de la canne, alors qu'un profond désarroi le gagnait. Il avait l'envie violente d'étrangler Laurent, pourquoi fallait-il qu'un de ses collègues le croisât dans un tel lieu ? Lucilius fulminait pour plusieurs raisons : non seulement voir Aaron dans un bordel souillait l'image qu'il entretenait de lui, mais en plus il fallait que ces putes se persuadent qu'il préférait des caresses masculines !

La situation était incroyablement gênante ! Et Aaron semblait prêt à s'amuser avec ses nerfs, c'était inacceptable. L'homme se promit de ne plus jamais écouter les conseils douteux de son ami. Toutefois, en attendant, il lui fallait calmer tout cela. Mais comment ? Il jugeait préférable de partir sans rien ajouter, plutôt que d'entretenir une potentielle rumeur sur ses fausses tendances homosexuelles. Et si Alessa l'apprenait ? Et son père ? Oh par l'Ombre, tout mais pas cela !


— Je crois qu'il y a erreur, finit-il par déglutir. Ce n'est pas...
— Qu'il est timide !, S'exclama une fille de joie près de Laurent. N'est-ce pas adorable ?
— Ha... Haha.

La colère empoisonnait son cerveau, si bien qu'il ne parvenait pas à établir un plan de secours. Certes, il pouvait accepter « l'offre » d'Aaron pour s'entretenir seul à seul, lui expliquer que c'était un malentendu, et désamorcer la chose. Mais — parce qu'il y a toujours un mais —, on le verrait monter à l'étage avec un homme, on discuterait alors sur son compte, répandant cette fameuse rumeur ! Et si Alessa... et si son père... Il préférait mourir que connaître cette disgrâce. C'en était fini de sa réputation. Lucilius émit un grognement, que faire ? Laurent le fixait, amusé, il caressait la cuisse de sa compagne tout en se délectant du spectacle. Lucilius se demanda pourquoi cet homme était son ami, il méprisait la décadence. Et Laurent se noyait dans le vin et le foutre aussi souvent que possible. L'homme massa son épaule, tout son corps lui paraissait endolori, ses doigts peinaient à bouger, il tremblait de fureur. Que devait penser Aaron ? Et d'abord, que faisait-il ici ? Qu'importe, il s'en foutait.


— Vous avez mal quelque part ? Lança la jeune femme face à lui. Ne vous inquiétez pas, ici, nous savons nous occuper du bien-être de nos... « amis ». Appelez cela de la générosité d'âme.

« Merci, pétasse. »

Son regard n'était pas noir, Lucilius maintenant le contrôle sur lui-même assez fortement ; la gêne devenait de plus en plus imposante. Son coeur battait un peu fort, ses mains devenaient moites, et ses idées de moins en moins claires. Quel comportement devait-il adopter ? Qu'est-ce qu'il devait faire ? Il avait la gorge sèche.


— Peut-être que votre nouveau compagnon pourrait soulager vos douleurs ?

Elle fixa Aaron, comme si elle lui donnait un ordre muet. Elle se pencha en avant pour servir du vin, quittant les bras de Laurent. La jeune femme était rayonnante de malice, elle jouait des hanches à chacun de ses gestes, offrant dès qu'elle le pouvait une jolie vue sur ses charmes. Quand elle donne la coupe à Lucilius, elle lécha sa lèvre ; une mèche de cheveux noirs s'était glissée dans le creux de ses seins. Elle croisa volontairement le regard bleu de l'homme, elle eut un sourire carnassier, puis elle se retourna vers Laurent. La putain se laissa tomber sur un siège, puis elle croisa les jambes. Elle leva son verre, et déclara :


— J'aime laver ma raison dans mon ivresse ! Buvez... buvez et laissez-vous emporter par les joies d'un esprit désinhibé.
— Que ferais-je sans cette femme ? Dit Laurent en avalant une belle gorgée de vin.

Lucilius le fusilla du regard, mais il but malgré lui. C'était plus pour noyer son désespoir dans l'alcool que pour apprécier cette conversation. Sa poitrine se souleva, il ferma les yeux. La fatigue le gagnait, alors que le vin réchauffait doucement son corps. Il se laissa retomber sur le dossier du canapé, les yeux posés sur le sol. Que faire ? Que dirait son père s'il apprenait que son fils s'était aventuré ici ? Et Alessa ? Sûrement lui dirait-elle que ses (faux) penchants ne lui posaient pas de problèmes, et qu'elle lui conseillerait de mener sa vie comme il le désirait. Mais adieu le mariage, adieu réputation,
et bonjour disgrâce. Lucilius poussa un soupir, désemparé.[/color][/color]
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