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 Le ciel ne ressent pas la souffrance des oiseaux qui meurent [PV Ludwig]

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Alessa Nocturnae

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Alessa Nocturnae

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MessageSujet: Le ciel ne ressent pas la souffrance des oiseaux qui meurent [PV Ludwig]   Le ciel ne ressent pas la souffrance des oiseaux qui meurent [PV Ludwig] EmptyMar 3 Déc - 10:35

Cela ne faisait que quelques jours que la rencontre entre Alessa, Princesse Nocturnae, et Ludwig, membre de la famille Impériale, s'était produite par hasard... Alessa avait quand même eu le temps de faire un aller-retour éclair dans le Palais de son père, de participer à une rencontre arrangée en vue d'un mariage potentiel avec Lucilius de l'Ombrage qui, en plus, n'était autre que le professeur du jeune homme... même si elle avait eu le temps de faire d'autres choses depuis, ça faisait beaucoup.

Quand elle rentra dans sa chambre après avoir passé les quarante quatre dernières heures enfouie sous une montagne de vieux livres craquelés et tout poussiéreux, la jeune fille trouve une lettre déposée sur son lit. Un messager avait dû l'apporter à un professeur qui, ne la trouvant pas, l'avait laissée là. Quel manque de savoir vivre et de respect des convenances... Elle la prit, la déplia et se mit à lire... c'était un message de la part de Ludwig ! Il l'invitait à venir lui rendre visite sur son lieu de travail. il ne précisait ni pourquoi ni quand, peut-être était-ce une simple invitation à venir converser ailleurs que dans les couloirs glacés de Libris Umbra. La princesse sourit et se tourna pour y aller. Malheureusement, elle croisa son reflet et s'arrêta net. Un brin de toilette s'imposait.

Une fois rafraichie et vêtue d'une robe propre, la jeune fille prit le papier sur lequel était indiqué l'adresse où elle devait se rendre et quitta Libris Umbra sous les haussements de sourcils des professeurs et des élèves qui la connaissaient sur son passage. Il faut dire que la voir en tenue décente était assez rare.

Certes, elle n'avait pas non plus passé une tenue digne de son rang et de son nom, mais elle restait très présentable, n'avait pas de poussière dans les cheveux, n'était pas pieds nus... elle avait même quelques tresses dans lesquelles brillaient de rares fils d'argents et des petites perles d'améthystes... certains se demandèrent s'il allait bientôt tomber des flocons jaunes et chauds... puis ils passèrent à autre chose. Elle n'était pas forcément très populaire de toute façon.


..........

Une fois arrivée à destination, la jeune fille chercha Ludwig un bon moment avant de se décider à demander à quelqu'un s'il le connaissait et s'il l'avait vu. La réponse ayant été affirmative pour les deux questions, elle finit par tomber sur lui sans plus de problèmes. Elle resta un moment en retrait pour le regarder travailler, appréciant sa mine concentrée quand il se penchait sur les patients et s'occupait d'eux, leur distribuant aussi bien soins que sourires, les deux choses dont ils avaient le plus besoin. Au bout d'un certain temps elle s'approcha derrière lui et attendit qu'il l’aperçoive sans le déranger.


- Je peux me rendre utile ? Je suis très loin de disposer des même connaissances et capacités que toi, je ne sais traiter que les plaies superficielles et les rhumes je crois... et de manière quelque peu approximative je l'avoue.
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Ludwig Walhgren

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Ludwig Walhgren

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MessageSujet: Re: Le ciel ne ressent pas la souffrance des oiseaux qui meurent [PV Ludwig]   Le ciel ne ressent pas la souffrance des oiseaux qui meurent [PV Ludwig] EmptyJeu 5 Déc - 7:40

Dans tous les quartiers pauvres de la Capitale impériale, Ludwig Walhgren servait de symbole. Malgré lui, il était célèbre et apprécié. Du fond du cœur, il ne souhaitait que suivre la Règle de son Ordre et ne recherchait aucune gloire, ni même de la reconnaissance. Par définition, sa mission était d'éliminer la souffrance, la faim, les maladies. Ses frères et sœurs puisaient directement dans l'énergie qu'il dégageait et il se réjouissait d'être utile. Mais cela le rendait bien sûr facile à trouver. Tout le monde le remarquait et la plupart des guérisseurs pouvaient simplement sentir sa présence.

Cela dit, il n'en faisait pas une affaire d'Etat, contrairement à son Frère aîné. Ludwig demeurait humble et faisait simplement de son mieux. Tant pour aider son prochain que pour rester discret. Le travail de Saint Dietrich était l'altruisme à l'état pur, un excellent exemple pour quiconque voulait étudier la magie du Sang. L'Ordre était la seule organisation traitant ce pouvoir avec crainte et à l'encadrer aussi strictement. Voilà pourquoi Ludwig invita sa nouvelle amie, la Princesse Alessa Nocturnae à le rejoindre sur son lieu de travail. Peu importe l'heure ou le jour : l'Ordre faisait systématiquement la même chose. Soigner, nourrir, guérir. Certains patients n'étaient là que pour reprendre des forces, incapables de survivre plus longtemps dans la rue, mourant d'épuisement et de malnutrition. D'autres étaient des gens ne pouvant s'offrir les services d'un guérisseur ou d'un médecin usant de la science. Beaucoup étaient simplement pauvres, mais pas tous. Un certain nombre de gens gagnant leur vie ne pouvaient simplement pas se permettre de faire face aux aléas de la vie.

Avec d'autres frères et sœurs, Ludwig arpentait l'un des dortoirs du Temple, distribuant soins et nourriture aux malades alités. La plupart ne nécessitaient pas l'intervention de son pouvoir. Ceux-là étaient pris en charge par d'autres aujourd'hui. Ici, il y avait justement ceux qui devaient être soignés sur le long terme. Bien manger et dormir au chaud. Voilà qui était indispensable à la survie, en particulier à l'approche de l’Équinoxe d'Hiver. Les températures ne cessaient de diminuer et Ludwig s'en voulait de plus en plus de dormir au Palais, juste pour satisfaire un caprice de Laurenz... Au moins, sa cellule servait désormais à l'accueil des patients supplémentaires.

- Sous le ciel et sous le soleil, Alessa. - Ludwig sourit à son amie, heureux de la voir. Sa joie se répandit dans la pièce provoquant d'autres sourires. - Si Tu veux bien nous aider à distribuer les repas, ce ne sera pas de refus.

Le jeune Walhgren laissa la Princesse prendre sa place parmi ses frères et alla parler avec les patients en plus mauvais état. La plupart se remettaient assez bien, entre les mains délicates de l'Ordre. Ludwig referma encore quelques plaies mineures et purgea un organisme de la maladie qui le rongeait.

Lorsqu'il revint vers Alessa, il l'a laissa finir. Sans aucun doute, un peu de travail au sein de l'Ordre ne ferait aucun mal à la Princesse. Tout le contraire.

- Lorsque nous aurons fini ici, je te montrerai la magie à l'oeuvre. Tu pourras voir quel est son vrai but.

Il ne le disait pas pour montrer que on art était supérieur à ce qu'Alessa pouvait apprendre de son côté. Mais il rayonnait d'une conviction sans faille que l'aide apportée à l'autrui était la meilleure chose qui puisse être faite. En particulier en période de froid et de longues nuits. Il sourit encore, alors qu'ils traversaient le couloir les séparant de la partie réservée aux soins.

- Cela s'est-il bien passé avec ton frère ?
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Alessa Nocturnae

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MessageSujet: Re: Le ciel ne ressent pas la souffrance des oiseaux qui meurent [PV Ludwig]   Le ciel ne ressent pas la souffrance des oiseaux qui meurent [PV Ludwig] EmptyDim 8 Déc - 10:14

La princesse Nocturnae regarda un moment Ludwig comme s'il était subitement devenu fou. Nourrir les blessés ? Elle même ? Genre... genre leur donner à manger et tout ? A des gens du peuple ? Elle n'avais jamais, au grand jamais, envisagé quoi que se soit sous cet angle. Finalement elle acquiesça, curieuse quand même de voir ce que cela faisait de se mêler aux plus démunis... Elle suivit une femme qui lui expliqua vaguement comment faire mais qui, pressée, s'en alla rapidement. Alessa contempla l'énorme cuillère, "louche"... elle avait dit une "louche", comme si elle allait la mordre, puis la saisi entre ses mains délicates... et dû resserrer sa prise... c'était affreusement lourd. Elle la plongea dans une énorme marmite pleine de ragoût et tira dessus pour la faire sortir, pleine de nourriture. Elle resta un moment ainsi, figée, se demandant si elle devait verser tout ça directement dans la bouche des malades... finalement son regard croisa celui d'un infirme qui, mort de rire, l'observait ouvertement. Elle finit par rire elle aussi et le remercia d'un signe de tête quand il lui montra les écuelles d'un signe de tête. Elle en remplit une sans même en verser à côté !!! L'infirme en question fut le premier qu'elle servit du coup.

Elle finit par prendre le coup et ne s'effondra que deux fois dans un fracas épouvantable en se prenant les pieds dans allez savoir quoi. L'un dans l'autre, ça se passait plutôt bien. Les gens étaient contents qu'elle leur apporte à manger, elle était contente de les voir sourire et de se rendre compte qu'ils étaient juste humains et que le peuple n'était pas juste un amas de criminels en devenir qui ne la regardaient que pour la violer, l'enlever contre rançon, où simplement pour la tuer. En fait ils avaient même l'air gentils... sales, pauvres et blessés... mais gentils.

Il y eu même un épisode attendrissant impliquant une petite fille qui vint lui tirer sur la robe en lui demandant pourquoi elle avait les yeux violets et pourquoi elle coiffait ses cheveux comme ça. La jeune fille lui répondit que ses yeux étaient un cadeau qui se transmettait dans la famille, et qu'elle se coiffait comme ça pour être plus jolie. Après une réflexion intense qui avait crispé son adorable petit visage, la petite avait dit que de toute façon, avec n'importe quelle coiffure elle serait jolie... Alessa avait rougit jusqu'à la racine des cheveux et avant même de se rendre compte de ce qu'elle faisait, avait serré la petite fille dans ses bras et l'avait embrassée sur la joue. Un grand sourire s'était plaqué sur ses lèvres et ne l'avait plus quittée pendant qu'elle continuait à distribuer des repas un peu partout.

Ludwig vint même la voir pendant qu'elle travaillait... travailler... ouah, un nouveau truc qu'elle pourrait ajouté à la liste des choses qu'elle avait expérimenté au final. Elle n'en revenait pas. Elle aidait des gens dans le besoin... elle l'avait déjà fait bien entendu, comme tout noble qui se respecte, c'est l'évidence même, elle avait donné de l'argent, fait distribuer de la nourriture et du pain par ses domestiques, des vêtements, des couvertures... enfin que des choses normales quoi, mais elle ne l'avait jamais fait elle-même.

Cela avait quelque chose d'incroyablement gratifiant et d'agréable que de le faire soit même finalement. Elle n'avait même pas l'impression de se salir les mains... enfin au sens figuré, parce que le sens propre en avait prit un sacré coup quand même... mais tant pis.

Quand elle eut terminé, elle rejoignis tranquillement Ludwig, curieuse de voir ce qu'il voulait lui montrer comme "magie à l'oeuvre". Elle avait repoussé sa chevelure qui, ainsi décoiffée, avait un volume conséquent et ondulait de manière tout à fait décevante autour de son visage. Elle même s'en fichait, mais elle voyait Ludwig en public, les convenances devaient être un minimum respectées sinon il allait avoir des problèmes. Elle non... son père savait qu'il était impossible d'exiger trop de choses quand à la tenue vestimentaire de sa fille quand elle n'était pas en présence de sa famille.


- Mon frère ? Eh bien tu fais bien de demander !

Elle lui jeta un regard étincelant.

- Ce malotrus m'a laissée toute seule, il est parti en plein milieu du repas, avant même d'entamer son canard laqué tu te rends compte ? Soit disant quelque chose "d'important" à faire. Je m'étais déjà faite à l'idée de finir de manger et de rentrer seule, mais un type s'est pointé et a prit la place de mon frère sans cérémonie. Il disait être commerçant mais il sentait le crime à dix tables à la ronde. Tu aurais vu la tête que faisaient les serveurs, c'étais d'un drôle !


Elle sourit à ce souvenir.

- Finalement il s'est révélé plutôt amusant, surtout avec un peu trop de vin dans l'organisme. J'ai fini par manger avec lui et il m'a raccompagnée. L'un dans l'autre une soirée sympathique... mais mon frère en entendra parler longtemps, ça tu peux me croire !

Elle retira distraitement une sorte de fibre qui s'était déposée sur l'épaule de Ludwig.

- Et ta soirée ?
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Ludwig Walhgren

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MessageSujet: Re: Le ciel ne ressent pas la souffrance des oiseaux qui meurent [PV Ludwig]   Le ciel ne ressent pas la souffrance des oiseaux qui meurent [PV Ludwig] EmptyVen 20 Déc - 5:40

La Princesse ne s'en sortait finalement pas si mal. Bien sûr, ses maladresses ne pouvaient passer inaperçues. Mais elle avait sa bonne volonté pour elle. Personne n'a été agile et précis du premier coup. Comme dans tout métier, il fallait un temps d'adaptation. Certains récits racontaient que Saint Dietrich lui-même avait été un homme plutôt maladroit dans sa jeunesse. Avant de devenir le mage du sang ayant connu la plus longue et la plus paisible existence de l'histoire de la magie en question.

Ludwig ne cacha pas sa surprise, son amusement et une pointe d'inquiétude, alors qu'il écoutait le récit de son amie. De drôles de choses arrivaient manifestement aux gens. Enfin, ce n'était pas plus mal que la noblesse voit quelques criminels aussi. Le jeune prince n'était pas ignorant au point de croire que les aristocrates ne participaient jamais à des affaires peu propres. Mais il partait du principe qu'il était une chose de financer et tirer profit du crime et une autre de voir cela devant soi, à l'heure du repas.

- Impressionnant. La plupart de ces gens ne sont pas mauvais. Les circonstances et l'indifférence des puissants les ont poussé à bout. Très souvent, il suffit de leur offrir une chance pour qu'ils s'avèrent formidables.

Malgré son intelligence, le guérisseur était encore très naïf. Son discours tenait la route lorsqu'il était question d'enfants ou de vieux ouvriers, tentant de se faire quelques pièces pour nourrir leur familles. Ces gens-là, il suffisait de leur donner à manger et une petite tape amicale sur l'épaule. Ils venaient aussitôt travailler pour l'Ordre et rendaient au centuple tout ce qu'ils avaient pu voler ou détourner. Le Walhgren n'avait jamais eu l'occasion de rencontrer un être foncièrement mauvais et ouvertement vicieux. Comme Eros. Le nom ne lui était pas inconnu. Le District vivait largement au rythme des querelles entre les gangs et celui du proxénète psychopathe était l'un des plus importants. L'Ordre de Saint Dietrich ne l'intéressait sans doute pas. Les guérisseurs bénéficiaient d'un statut spécial. Chacun voulait pouvoir compter sur eux, une fois dans une situation difficile.

- Je n'ai pas d'aventures similaires à raconter. Un repas à trois, passé à éviter les sujets qui fâchent au nom du bon vieux temps.

Bien que calme et naturellement poli, Ludwig choisit le bon ton pour signifier qu'il ne comptait pas s'étendre sur le sujet. Et surtout qu'il ne voulait entrer dans les détails. Au lieu de cela, il invita à entrer dans la salle de soins. Longue, disposant de cinquante lits, disposés le long des murs, elle était emplie d'odeurs plus ou moins faciles à identifier. Herbes, médicaments, sang, excréments aussi. Une Sœur passant par là salua Ludwig, qui lui rendit un salut identique. D'autres membres de l'Ordre s'affairaient un peu partout. Un homme âgé, vêtu des robes noires de Saint Dietrich approcha des deux jeunes gens et demanda à Ludwig de s'occuper d'un patient qu'on venait de leur amener. Le guérisseur s'inclina et s'approcha du blessé.

Un homme dans la force de l'âge, fort et bien bâti. Un accident industriel était à l'origine de sa blessure. Son bras, bandé à la va-vite dans l'attente d'un guérisseur, saignait encore assez abondamment. Ludwig s'agenouilla près du lit et indiqua à Alessa de rester légèrement à l'écart. Il posa une main sur l'épaule de l'homme couvert de sueur et garda l'autre au-dessus de la blessure.

- Chuuuuut... Tout se passera bien. Vous ne risquez plus rien...

La voix de Ludwig était un murmure apaisant. Il l'accompagna d'une vague de magie qui neutralisa la douleur dans le membre de l'homme. La respiration de l'ouvrier ralentit et son visage se détendit. Délicatement, il défit le bandage sale et le déposa au sol à côté de lui. Le guérisseur serra le poing et le saignement cessa.

- Ne bougez pas...

Ludwig se tourna vers Alessa.

- Tu vois ? Le sang nous anime, nous emplit. Grâce à lui, il est possible de tout faire d'un corps humain. Si nous pouvons agir dessus, nous pouvons également pousser les tissus à guérir.

D'un geste fluide, le jeune Walhgren referma la blessure, ne laissant qu'un bras sain. Le corps de l'ouvrier était affaibli, certes, mais il pourrait reprendre le travail dès le lendemain et ne mettrait donc pas sa famille en difficulté. Ludwig se releva.

- Restez ici cette nuit et reposez-vous. Vous devez reprendre des forces...

L'homme hocha la tête, alors que les deux jeunes gens s'éloignaient un peu pour le laisser souffler. Faire expérience des effets de la magie du sang sur son corps n'était pas une expérience facile pour tout le monde.
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